À quoi ça sert encore de voter ?
On l’a tous entendu au moins une fois : « De toute façon, ça sert à rien de voter ! ». Et peut-être qu’on l’a même déjà pensé. Peut-être qu’on l’a même dit. C’est une phrase qui revient comme un refrain fatigué, à chaque élection. Dans les discussions de café, sur les réseaux sociaux, ou sur le trottoir. Mais est-ce vrai ? Est-ce que voter, aujourd’hui, ça ne sert plus à rien ? Ou est-ce qu’au contraire, c’est plus important que jamais ? République Express va essayer d’y répondre. Sans discours pompeux. Juste avec des faits, des exemples concrets, et une bonne dose de réalité.
DÉMOCRATIE
République Express
5/22/202514 min read


À quoi ça sert encore de voter ?
Publié par République Express – 22 mai 2025
Introduction : La grande question que tout le monde (ou presque) se pose
« De toute façon, ça sert à rien de voter ! » Qui n’a jamais entendu ça ? Peut-être même l’as-tu déjà pensé. Ou dit. Ce refrain revient sans cesse à chaque élection. Mais est-ce vrai ? Est-ce que voter ne sert vraiment plus à rien ? Ou est-ce, au contraire, plus important que jamais ?
République Express va tenter de répondre, sans langue de bois, sans blabla politicien. Juste avec du concret. Des faits. Des exemples. Et une grande question : dans quel monde voulons-nous vivre ?
🟦 Chapitre 1 : Voter, c’est choisir (ou pas)
Voter, ce n’est pas juste glisser un papier dans une urne. C’est prendre une position, dire quelque chose, même si ce n’est pas un “oui” enthousiaste. Même voter blanc, c’est exprimer une insatisfaction. C’est dire : “Je suis là, mais je n’adhère pas à ce qu’on me propose.” C’est toujours mieux que de se taire.
Et ne pas voter, c’est quoi ? C’est laisser les autres décider. C’est dire sans le dire : “Faites comme vous voulez.” Et souvent, ceux qui votent sont ceux qui ont un intérêt direct à ce que rien ne change. Ceux qui ne votent pas sont souvent les plus en colère, les plus frappés par les injustices… et pourtant, ils se taisent dans l’isoloir.
Beaucoup disent : “Je ne choisis pas parce que je ne crois plus en personne.” C’est compréhensible. Mais choisir, ce n’est pas forcément approuver à 100 %. Ce n’est pas signer un contrat d’amour éternel. Parfois, c’est choisir le moins pire. Parfois, c’est éviter la catastrophe. Parfois, c’est donner une chance à un petit candidat qui, lui, n’a pas les moyens des gros.
Et puis, voter, ce n’est pas qu’un choix personnel. C’est un acte collectif. Un bulletin tout seul, c’est peu. Des milliers de bulletins, c’est un signal. C’est un peuple qui parle, qui proteste, qui réclame ou qui soutient. Ce n’est pas juste une enveloppe. C’est une pierre dans l’édifice de la démocratie.
Refuser de voter parce qu’on ne croit plus en rien, c’est normal. Mais si tous ceux qui pensent comme toi allaient voter ? Peut-être que ça changerait la donne. Peut-être que les “oubliés” ne seraient plus si oubliés. Peut-être que les puissants commenceraient à trembler.
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🟦 Chapitre 2 : Une histoire de droits gagnés durement
On l’oublie trop souvent : voter n’a pas toujours été un droit. Et encore moins un droit pour tous. Pendant des siècles, seuls les riches, les hommes, les propriétaires, les “importants” avaient leur mot à dire. Le peuple ? Il devait se taire et subir.
En France, les femmes n’ont obtenu le droit de vote qu’en 1944. C’est hier, à l’échelle de l’histoire. Les jeunes ne peuvent voter qu’à partir de 1974, grâce à une réforme de Valéry Giscard d’Estaing qui abaisse l’âge à 18 ans. Et aujourd’hui encore, dans certaines régions du monde, voter est un luxe. Un acte risqué. Une menace.
Pense à toutes celles et ceux qui se sont battus pour ce droit. Les suffragettes, qui ont été insultées, battues, emprisonnées. Les résistants, qui ont risqué leur vie pour qu’un jour, la République retrouve ses valeurs démocratiques. Ceux qui, dans les pays sous dictature, bravent la peur pour mettre un bulletin dans l’urne.
Quand tu votes, tu n’es pas juste un citoyen parmi d’autres. Tu es l’héritier d’un combat. D’un espoir. D’une conquête. Et ce droit-là, il ne faut pas l’abandonner. Car les droits qu’on ne défend pas, on finit toujours par les perdre.
Le désintérêt pour la politique, ce n’est pas qu’un symptôme de fatigue. C’est une porte ouverte au retour de l’arbitraire. À la confiscation du pouvoir. À l’autoritarisme. Ceux qui n’aiment pas la démocratie adorent l’abstention. Plus tu es silencieux, plus ils deviennent bruyants.
Alors, la prochaine fois que tu penses que “ça sert à rien”, pense à celles et ceux qui auraient tout donné pour avoir ta chance. Pense à ton arrière-grand-mère qui n’a jamais pu voter. Pense à ces peuples opprimés qui rêvent encore de faire entendre leur voix.
Ton vote est leur victoire.
🟦 Chapitre 3 : Les conséquences de l’abstention
Ne pas voter, ce n’est pas être neutre. C’est peser... dans le mauvais sens. Car en politique, le silence n’est jamais neutre. Quand tu t’abstiens, tu laisses la place libre. Et dans cette place, ceux qui sont les plus organisés, les plus fidèles à leur parti, s’engouffrent. Ce sont souvent les extrêmes, les conservateurs, ou ceux qui ont quelque chose à perdre.
On l’a vu avec le Brexit. En 2016, beaucoup de jeunes Britanniques ont décidé de ne pas voter. Résultat ? Ce sont les plus âgés, bien plus mobilisés, qui ont fait pencher la balance. Le lendemain du vote, certains jeunes pleuraient. D’autres criaient à la trahison. Mais c’était trop tard. L’histoire était écrite.
Et en France ? Les taux d’abstention explosent. Plus d’un Français sur deux ne vote plus. Dans les quartiers populaires, dans les campagnes abandonnées, dans la jeunesse… l’abstention est devenue la norme. Mais pendant ce temps, d’autres, eux, votent. Fidèlement. Méthodiquement. Et donc, ils décident.
Ce désengagement fait grimper mécaniquement les partis les plus radicaux. Car leurs électeurs, eux, se déplacent toujours. Résultat : à chaque élection, les cartes sont faussées. Une minorité active remplace une majorité silencieuse.
Et puis, il y a ce débat légitime sur l’Europe. Depuis plus de 20 ans, certains citoyens, de droite comme de gauche, estiment que l’Union européenne est responsable d’une partie de nos difficultés : désindustrialisation massive, fuite des usines, concurrence déloyale, délocalisations, explosion de l’immigration sans contrôle réel, stagnation des salaires, effondrement des services publics… Ce n’est pas un délire complotiste. Ce sont des constats faits par des millions de Français.
Pour ces citoyens, le FREXIT n’est pas un fantasme, mais une solution sérieuse. Une manière de reprendre le contrôle, comme ils disent. De retrouver notre souveraineté, nos lois, notre dignité. Que l’on partage ou non cette opinion, elle mérite d’être entendue. Et le seul lieu légitime pour trancher ce genre de débat, c’est l’urne.
Ne pas voter, c’est donc abandonner ce pouvoir. C’est refuser de participer au seul vrai débat qui nous est encore offert. Et pendant ce temps, d’autres choisissent pour toi. Et pas toujours dans ton intérêt.
🟦 Chapitre 4 : Ça change quoi concrètement ?
Tu penses peut-être que voter, ça ne change rien. Que les politiques font tous la même chose, peu importe qui gagne. Que la vie est dure avec ou sans eux. Et c’est vrai qu’on a tous ressenti cette lassitude, ce sentiment que tout est joué d’avance. Mais si tu regardes de plus près, tu verras que voter, ça change tout. Même quand ça ne change pas tout.
Parce que ce que décident les élus, ça touche ton quotidien, ton portefeuille, ton assiette, ton avenir. C’est eux qui votent les lois. Qui fixent les budgets. Qui choisissent où vont les priorités. Qui dit ce qui est légal ou interdit. Qui encadre ce que tu peux faire… ou non.
Prenons quelques exemples très concrets :
La retraite : 60 ans ? 62 ? 64 ? Qui décide ? Les élus que tu as mis en place.
Le SMIC : bloqué ou revalorisé ? C’est encore une décision politique.
Les aides sociales : RSA, APL, allocations chômage… tu crois qu’elles tombent du ciel ?
Les hôpitaux : fermetures de services, manque de personnel ? Ce sont des choix budgétaires, donc politiques.
L’école : classes surchargées ou pas ? Programmes scolaires ? Rythmes ? Recrutement des profs ? Politique.
Le logement : encadrement des loyers ou cadeaux aux promoteurs ? Politique.
Les transports : trains supprimés ou lignes rénovées ? Politique.
L’écologie : vraies mesures ou écrans de fumée ? Politique.
L’immigration : contrôlée ? Mal gérée ? Instrumentalisée ? Encore une question politique.
Et ce n’est pas tout. Même ce que tu manges, ce que tu respires, ce que tu regardes à la télé, est influencé par des décisions prises par des gens… que tu as, ou n’as pas, élu.
Et puis, il y a les élections locales : municipales, départementales, régionales. Tu penses que c’est moins important ? Détrompe-toi. Ce sont elles qui gèrent tes routes, tes cantines, tes bibliothèques, les aides aux associations, le développement économique local. Là encore, ton vote a un impact direct.
Tu vois, tout est politique. Même ce que tu crois être privé. Même ton quartier. Même ton quotidien. Alors non, voter ne changera peut-être pas la face du monde du jour au lendemain. Mais ça peut changer ta ville. Ta région. Ta condition de vie. Et ça, c’est déjà énorme.
🟦 Chapitre 5 : Les raisons de ne pas voter (et pourquoi y réfléchir à deux fois)
On va être honnête : les raisons de ne pas voter sont nombreuses. Compréhensibles. Et parfois même légitimes. Beaucoup en ont marre. Beaucoup sont déçus. Certains ne croient plus du tout dans le système. Mais derrière chaque bonne raison de ne pas voter, il y a souvent une conséquence encore pire.
« Aucun candidat ne me parle »
C’est vrai. Parfois, on lit les programmes, on écoute les débats… et rien ne résonne. On a l’impression que personne ne comprend vraiment ce qu’on vit. Que tous parlent le même langage technocratique, déconnecté de la vraie vie.
Mais il y a une autre réalité : les petits candidats, ceux dont les médias ne parlent pas, ceux qui n’ont pas les moyens de se faire entendre, proposent parfois des choses intéressantes. Des citoyens engagés, des listes locales, des mouvements alternatifs, indépendants. Ce n’est pas à la télé qu’on les découvre, c’est en allant chercher. En creusant.
« Tous les politiques mentent »
C’est un sentiment répandu. Et souvent, on a des raisons de le penser. Entre promesses non tenues, retournements de veste, scandales de corruption ou petites phrases méprisantes, il y a de quoi se méfier.
Mais faut-il jeter tout le monde dans le même panier ? Ce serait comme dire que tous les médecins sont incompétents parce qu’on est tombé un jour sur un mauvais. Il existe des élus honnêtes, sincères, engagés. Ils sont moins visibles, mais ils existent. Et ils ont besoin qu’on vote pour eux. Sans notre soutien, ils disparaissent du paysage.
« Mon vote ne changera rien »
C’est faux. Une voix seule peut sembler insignifiante, mais elle s’ajoute aux autres. Et parfois, quelques dizaines de voix font basculer une élection. Il y a des maires élus à une poignée de voix près. Des députés qui ont gagné grâce à 50 bulletins. Ta voix peut être celle qui fait la différence.
Et au-delà du résultat, voter, c’est aussi envoyer un message. Soutenir une idée. Défendre une vision. C’est montrer que cette idée existe, qu’elle a un écho. Et à force d’être entendu, un jour, elle peut devenir majoritaire.
« Je ne comprends rien à la politique »
Personne ne naît politisé. On apprend. Petit à petit. Et on peut s’y mettre à tout âge. Lire un article, écouter un podcast, suivre une chaîne YouTube indépendante, discuter avec des proches. Tu n’as pas besoin d’un diplôme pour avoir une opinion. Tu vis ici, tu bosses ici, tu élèves des enfants ici : tu es légitime.
Et puis, la politique, ce n’est pas si compliqué. Il suffit d’un peu de curiosité, d’un peu de temps. Et surtout, de ne pas laisser les autres parler à ta place.
Alors oui, toutes ces raisons sont valables. Mais aucune ne justifie de renoncer complètement. Car ne pas voter, c’est abandonner une des dernières armes dont on dispose. Ce n’est pas la seule. Ce n’est pas la plus puissante. Mais c’est une base. Un socle. Et si on l’ignore, d’autres s’en serviront. Et peut-être pas dans notre intérêt.
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🟦 Chapitre 6 : Le vote, un acte de résistance ?
On vit dans une démocratie, oui. Mais fragile. Très fragile. La démocratie, ce n’est pas juste un drapeau, une Marseillaise et un bureau de vote tous les cinq ans. C’est un équilibre. Une vigilance permanente. Et parfois, voter, c’est résister.
Dans certaines périodes de notre histoire, voter était un acte héroïque. Pendant la Résistance, c’était une revendication. Dans les dictatures, c’est un rêve. En Iran, en Russie, en Chine… ou même parfois au sein de l’Union européenne, dans des régimes dits “illibéraux”, le vote libre n’existe plus, ou presque. On t’intimide. On surveille. On manipule.
Nous, on a encore ce droit. Il tient, mais il tremble. Le désintérêt politique massif, l’abstention record, la concentration des pouvoirs, la crise des partis, l’effondrement des contre-pouvoirs… tout cela affaiblit notre démocratie. Et certains, dans les hautes sphères, n’attendent qu’un prétexte pour restreindre les libertés. Pour “moderniser” la démocratie, disent-ils. Pour “rendre plus efficace” le processus électoral. En réalité ? Pour en écarter le peuple.
Voter aujourd’hui, c’est dire non à cette dérive. C’est dire : “Je suis là, je vous vois, je vous observe. Vous ne déciderez pas sans moi.” C’est la seule fois où un citoyen lambda a le même pouvoir qu’un grand patron, un ministre ou un millionnaire. Une voix = une voix. L’égalité parfaite. Mais ça ne dure qu’un instant. Il faut la saisir.
C’est un geste simple. Mais symboliquement immense. Parce qu’il signifie qu’on ne baisse pas les bras. Qu’on ne se laisse pas voler notre mot à dire. Et qu’on ne laissera jamais une poignée de puissants parler pour nous tous.
Ne pas voter, c’est parfois penser qu’on résiste. Mais en réalité, c’est souvent abandonner le champ de bataille. Et dans ce vide, d’autres s’installent. Ceux qui n’aiment pas le peuple. Ceux qui n’aiment pas la liberté. Ceux qui préfèrent gouverner sans débat, sans opposition, sans voix.
Alors oui : voter, ce n’est pas être naïf. C’est être debout.
🟦 Chapitre 7 : Démocratie 2.0 – Le citoyen moderne
Aujourd’hui, voter ne suffit plus. Et tout le monde le sait. Tu peux voter une fois tous les cinq ans… et ensuite ? Tu retournes à ta vie, les autres décident pour toi. C’est frustrant. C’est même parfois insupportable. Mais ce n’est pas une fatalité.
Être citoyen aujourd’hui, ce n’est pas seulement glisser un bulletin dans une urne. C’est s’informer. C’est parler. C’est débattre. C’est refuser l’indifférence. C’est être curieux. C’est écouter ceux qui ne pensent pas comme toi, et ne pas fuir à la première contradiction.
Internet a bouleversé la démocratie. Tout le monde a une voix. Mais encore faut-il savoir s’en servir. Le flot de fake news, de théories fumeuses, de simplifications extrêmes peut décourager. Mais c’est aussi un outil puissant pour s’éduquer politiquement, pour s’organiser, pour agir. Tu peux aujourd’hui écrire à ton député, lancer une pétition, filmer une injustice dans ta ville et la rendre virale.
Tu peux rejoindre une association, un collectif, un groupe local. Tu peux participer à une réunion publique, créer une page d’information, proposer une initiative citoyenne. Tu peux faire de la politique… sans faire de politique.
La démocratie moderne, ce n’est pas une pièce de théâtre où tu restes dans le public. C’est un chantier permanent. Et tu peux y mettre les mains. Pas besoin d’être expert, diplômé ou encarté. Il suffit d’avoir envie.
Et surtout, il ne faut pas croire qu’on est trop petit pour changer les choses. Les plus grands mouvements ont souvent commencé par une poignée de gens ordinaires. Et parfois, une étincelle suffit.
Alors oui, voter est essentiel. Mais c’est le début du chemin, pas la fin. Et ce qu’il y a autour – la parole, l’action, l’écoute, le refus de baisser les bras – ça, c’est la démocratie en action. C’est le peuple qui respire. C’est la France qui vit.
🟦 Conclusion : Alors, ça sert encore de voter ?
Oui. Mille fois oui.
Ce n’est pas une solution miracle. Ce n’est pas une garantie de bonheur. Ce n’est même pas toujours enthousiasmant. Mais c’est essentiel.
Voter, c’est ne pas se taire. C’est refuser de disparaître. C’est dire : « Je suis là, je pense, je juge, je choisis. » Même si tu n’as pas toutes les réponses. Même si tu es déçu. Même si tu doutes. Parce que dans le doute, il vaut mieux faire un geste que rien du tout.
Ce n’est pas en s’abstenant qu’on punit le système. C’est en votant autrement. C’est en soutenant les idées qu’on croit justes, même si elles ne sont pas encore majoritaires. C’est en refusant de laisser le champ libre à ceux qui parlent fort, mais pensent faux.
Et si tu crois que rien ne changera, pense à ceux qui, un jour, ont tout bouleversé avec une élection. Pense aux tournants historiques. Aux révolutions pacifiques. Aux voix qui, additionnées, sont devenues raz-de-marée.
Voter, c’est une graine. Parfois elle pousse. Parfois non. Mais si on ne la plante pas, elle ne poussera jamais.
Alors le jour venu, ne doute pas trop. Ne baisse pas les bras. Glisse ton bulletin. Même si c’est avec colère. Même si c’est avec lassitude. Même si c’est juste pour dire « non ».
Parce que dans une démocratie, c’est celui qui vote qui gagne. Même un peu. Même provisoirement.
🟦 FAQ : Les questions que tout le monde se pose
🗳 Est-ce que mon vote compte vraiment ?
Oui. Chaque voix compte. Certaines élections se jouent à 20 voix près. Une commune, une région, un député : tout peut basculer avec peu.
⚪️ Voter blanc, ça sert à quoi ?
C’est un signal. Un acte visible. Même s’il n’est pas compté comme suffrage exprimé, il est comptabilisé. Il montre un refus des options en présence. C’est mieux que s’abstenir.
🚫 Et si je ne veux voter pour aucun ?
C’est ton droit. Mais fais-le savoir autrement : bulletin blanc, vote de protestation, ou vote pour une petite candidature. Tu as des moyens d’exister.
🇪🇺 Le FREXIT, c’est une vraie option ?
Oui, pour beaucoup. Ce n’est pas un délire marginal. C’est une position politique de plus en plus soutenue par ceux qui estiment que l’Union européenne ne sert plus les peuples. Et c’est à l’électeur d’en décider.
📉 Pourquoi voter si rien ne change jamais ?
Parce que voter peut empêcher le pire. Parce que ça peut donner de la force à des idées nouvelles. Parce que ça peut encourager ceux qui, dans l’ombre, œuvrent pour le bien commun.
📚 Je n’y comprends rien. Dois-je voter quand même ?
Oui. Et surtout, informe-toi petit à petit. Il existe des formats simples : vidéos, podcasts, micro-trottoirs. L’essentiel est d’avancer, à ton rythme.
💬 Est-ce que je peux changer les choses autrement ?
Oui. En militant. En informant. En parlant autour de toi. En agissant localement. Mais voter reste la base. L’acte fondateur. Le symbole de l’égalité civique.
🟦 Et maintenant ?
➡️ Renseigne-toi sur les prochaines élections.
➡️ Lis les programmes. Même ceux des petits.
➡️ Parle autour de toi.
➡️ Et surtout… vote.
Même avec hésitation. Même avec colère. Même avec une main tremblante.
Parce que le vrai danger, ce n’est pas de mal voter. C’est de ne plus voter du tout.
Vive la parole libre. Vive la République Express.
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